Splendeurs Et Misères DUn Strip-Tease
Content de vous retrouver les mecs, pour ce troisième épisode qui devrait plaire à certains dentre vous. En effet, jai reçu pas mal de mails où les mecs souhaitaient obtenir des photos de ma petite personne, mais jai préféré refuser dans un premier temps, avec le souhait de laisser les mots agir dabord pour lenchantement de limagination. Cependant, je ne vous cacherais pas quune autre raison sy dissimule, car mon corps est loin dêtre celui dun éphèbe au sens fantasmagorique du terme. Si cet épisode risque de faire souffrir lidéalité de mon image, il aura le mérite de donne une note réaliste grâce à une vérité des plus nues. Alors commençons
Dois-je vous rappeler à quelle délicate situation je devais faire face ? A cause de mon incapacité à la fermer, ma « petite caillera » (même sil fait deux fois ma taille dans tous les sens du terme, jadore ce surnom) vient de mordre dans la pomme de la discorde. Si mes lèvres ont réussi à sceller sa colère, Driss réclame réparation pour le tort que je lui ai fais subir. Pendant que Monsieur est confortablement installé sur mon canapé, il mordonne de déhancher mon corps comme si jétais un professionnel du Gogo. Dailleurs, les derniers mots de la fin du récit étaient les suivants :
Attends, je crois que tu nas pas compris. Tu as dansé sur ma queue comme une petite pute, alors tu vas continuer, en mexécutant un strip-tease bien och. Tu as eu le droit de voir la queue de ton mâle, maintenant je veux voir le corps dans son intégralité de ma femelle. Je veux te voir en mode lopsa affamée, comme si tu voulais me rendre ouf. Compris ?
Depuis le temps, vous devez commencer à cerner mon personnage, cest-à-dire que même si je me vois déstabiliser à lintérieur, je me sens obliger de nen rien laisser paraître. Ce qui me permet de faire bonne figure reste la musique qui continue de jouer dans latmosphère. Il me suffit de quelques notes pour que je perde le contrôle de mon corps, qui décide de se mouvoir aux grés de ses propres envies.
Leçon numéro 2 : quand ton mâle est vénère, donnes lui ton corps en pâture. Et frère, profites dêtre debout pour aller me chercher un truc à boire, genre une bière, mordonne-t-il.
A côté de lanatomie dun mec comme Driss, il serait difficile de ne pas faire de comparaison en défaveur de la sienne. Or, je dois admettre que mon corps ne tient pas la distance, ce qui me fait sentir ridicule. Sil porte en lui la beauté des dieux, je me situe en-dessous de léchelle de la perfection. Pourtant, je ne peux mempêcher de penser que je possède un pouvoir qui pourrait supplanter celui de cette harmonie sculpturale : savoir me servir de mon corps. Rappelez vous que la première fois que jai fais venir ma caillera, cétait en ondoyant sur ses genoux. Après tout, la maîtrise du corps ne pourrait-elle pas parfois être aussi impressionnante que sa simple apparence ?
Afin de vous laisser de la place dans le récit, je ne vous donnerais pas le nom de la musique sur laquelle jai effectué ma lap dance. Par contre, rien ne vous empêche de prendre quelques secondes pour mettre le son qui vous ferait le plus tripper dans cette situation. Ainsi il vous sera possible de recréer à la perfection lambiance de cette nuit, en choisissant pour un moment dêtre Driss assis sur le canapé ou Mowgli debout face à ce mec
cest-à-dire moi. Allons, dépêchez-vous ! Installez-vous ! Et que le spectacle commence.
Malgré le fait que je me sois retourné pour ne pas lui faire face, je sens son regard acéré qui me détaille sous les moindres coutures comme pour juger des charmes de la marchandise. Cette impression se transformait en une véritable , lorsquelle devint presque physique, éprouvant une vague de brûlante me parcourir le corps.
Comme un charmeur de serpent hypnotise la bête pour la faire onduler, la musique prend pleine possession de mon corps. Ce sont mes mains, qui sortent les premières de la torpeur dans un tournoiement, qui laissent séclore mes doigts tels les pétales dune fleur au printemps. Très vite, le mouvement se répercute à mes bras, qui se sélancent dans une ondulation dabord restreinte avant de prendre son envol dans une courbe plus délayée. Je peux sentir mes omoplates se décoller sous ma peau, mettant en branle un à un lensemble des muscles de mon dos. Concentrées sur laction générale, mes hanches prennent le relais afin de transmettre lénergie le long de mes jambes. Lorsque Dorothée rencontre lhomme de fer blanc dans le magicien dOz, il lui faut huiler larmure avant que celle-ci se mettent en marche ; de la même manière, ma structure avait besoin de séchauffer avant de pouvoir faire montre de ce quelle est capable. Au moment où chaque parcelle me semble apte à lexécution, je lance mon corps dans une impulsion giratoire, afin de faire front à mon terrible individu.
A croire quil ny a pas de mystère dans la séduction, car je crois que peu importe le corps tant que lesprit se persuade de son charme. En dautres termes, je sais que le mien nest pas esthétique dans sa sculpturalité, mais lattirance se joue sur une autre harmonie. Rien ne sert dincarner la perfection tant que lesprit en fait une obsession, il suffit de lâcher prise pour que lhomme se pare dun nouvel éclat. Face à mon keum, je comprends que je ne suis plus la même personne, que mon âme sest métamorphosée du cygne blanc au cygne noir.
Driss na pas bougé, il a gardé la même position. Les cuisses bien écartés, il laisse à jours la bosse conséquente qui déforme son boxer. Ses mains sont repliées derrière sa tête, dans une attitude pleine darrogance et de désinvolture. Son visage ne trahis aucune expression, hormis ses yeux dun noir profond allumés de flammèches qui semblent vouloir brûler les vêtements dissimulant mon corps. Devant cet Hérode, il ne me reste plus quà exécuter la danse des sept voiles. Après tout, Salomé na eu que ce quelle voulait alors elle doit en payer le prix.
La musique continue sa symphonique envolée, mais le mouvement sest fait plus intense, emporté dans un léger crescendo. Pris dans les méandres de la partition, mon corps se débat afin de conserver le rythme, où tout nest quoscillation, bouillonnement et révolte, comme une mer sous la tempête, ou un ouragan par laction du vent. Par un léger mouvement du visage, mon client me fait comprendre quil est temps que mes vêtements se défassent. Profitant de loccasion, il se penche vers son sac, afin dy pécho un paquet de cigarettes. Monsieur veut pouvoir profiter à fond de son strip avec une bière dans la main et une clope dans lautre. Un vrai maquereau, ce qui nest pas pour me déplaire car les clichés ont ce petit quelque chose qui me rend dingue.
Par la grâce des Dieux, je possède le don de mimétisme : il me suffit de voir une fois quelque chose pour que je réussisse à le reproduire peu ou prou. Ainsi je ne me sens pas déconcerter grâce à lexpérience visuelle que jai acquise durant ses nombreuses années de célibat. A moi dy inclure ma signature, pour rendre ce moment mémorable aux yeux de ce beau gosse.
Afin de donner de linteractif à ce show, je fais rouler les os de mon squelette sous ma peau, tel un félin en pleine action. Je mapproche de lui avec toute la volupté de mes déhanchements et la prestesse de mes pas. Il sagit de présenter la bonne attitude, pour laisser à lautre la place de se projeter dans le film de ses fantasmes. Je profite de ses jambes écartées pour masseoir sur la première venue. Lascivement, je me penche en avant, dans le but non avoué de lui faire admirer ma croupe, et je glisse un doigt dans lune de mes chaussettes pour la retirer. Décidé à passer sur lautre cuisse, jexécute une rotation à 180°, qui moblige à frôler sa queue de mon fessier. Surpris, il pousse un léger soupir, suivi dun grognement frustré. Installé sur lautre versant, je joue de ma flexibilité pour lever ma jambe bien droite le long de mon torse, afin de retirer la deuxième chaussette.
Voyant que le charme fait son effet, je me glisse entre ses cuisses dans une position accroupie et relève mes jambes en restant le torse vers le sol, afin de lui laisser une vision pleine de mon derrière. Au lieu de me frotter comme une chatte en chaleur sur son corps, je décide de faire lindifférent en repartant à mon point de départ. Il sagit désormais de soulever mon tee-shirt, mettant à jours la finesse de mon buste. Ne voulant pas le retirer tout de go, je le fais voleter le long de ma taille, laissant à lair libre le dessin de mon nombril qui se présente sous la forme dun trou à limage dautres plus utiles. Cependant, jai beau avoir le cygne noir, qui se fout royalement des imperfections de mon corps, le cygne blanc persiste encore à frétiller dhorreur face à mon pelage viril.
Et il y a de quoi sinquiéter, car Driss présente une apparence glabre, où la peau luit par sa simple nudité. Seul quelques poils se font jour autour de sa queue comme jai pu le admirer au préalable, ou encore sous ses aisselles que jai pu vérifier grâce à son débardeur. Sinon, rien
alors que mon cas est autre. Je ne suis pas au point de me confondre avec un gorille ou une moquette mais, si ma virilité se fait jour, cest bien par la présence de mes poils. Prenant mon courage à deux mains, je fais tournoyer mon vêtement, en le retirant dun geste enlevé comme la cape dun magicien dissimule le secret dun tour de magie. La toison de mon torse a cette particularité de dessiner dans une parfaite symétrie une figure proche des images de Rorschach. Chacun peut y voir, ce que son subconscient lui dicte. Comme sur mes bras, mes poils présentent un puissant noir, qui contraste avec le blanc porcelaine de ma peau. Sils peuvent se réunir avec plus de force, entre mes deux pectoraux et autour de mes deux tétons, ils peuvent également laisser à nu des plages entières de peau dans un mode clairsemé.
Est-ce quune caille nest pas censée avoir en horreur le poil ? Obsédé par ce cliché, je me rends compte que jai omis de minquiéter dun deuxième détail. De légères cicatrices viennent vriller ma peau sur mes avant-bras et mes épaules, mes hanches et mes fesses. Il sagit dun relief sur mon enveloppe, qui forme de longues lignes creuses à la couleur violacée. Impossible de ne pas les rater, dautant plus que la lumière leur donne un éclat mordoré. Concrètement, elles donnent limpression que des griffes se sont plantées dans ma peau, pour les lacérer avec force. Je les ai depuis ma petite enfance, alors jai pris lhabitude de vivre avec et de ne pas les voir, mais devant ce rebeu plein de perfection, je me sens fondre de honte.
Dans ce genre de situation, rien ne sert de montrer son désarroi. Autant se persuader dêtre seul, afin de finir convenablement ce qui a été commencé. Il ne me reste plus que mon boxer a viré, pour que je sois dans une complète nudité, et ce quil dissimule nest pas là pour rattr le reste. Heureusement, je ne suis pas du genre à me laisser vaincre sans batailler avec tous les moyens à ma disposition. Avant dêtre à sa merci, il me reste encore quelques tours dans mon sac, car ce boxer a la faculté de me mouler outrageusement larrière-train. Un peu despièglerie et dastuce me rappellent que sil y a une chose que je sais faire, cest déplacer mon corps à la pointe du couteau de la sensualité. Mon adresse ne répond plus à ma raison et se lance dans une manifestation de ses multiples capacités.
Lorsque le fer est chaud, il convient de le battre ; alors quand mon lascar est sur le point dexploser, il ne me reste plus quà lancer le bouquet final. Je monte sur la pointe de mes pieds, afin de donner une meilleure silhouette à mon corps, et tourne sur moi-même jusquà être de trois-quarts dos. Je pose mes doigts entre lélastique de mon boxer et ma peau, puis le fais descendre le long de mes jambes, donnant à Driss une vue subreptice de mon intimité. Il ny a pas à aller par trois milles chemins, soit mon cul est un fantasme soit il ne lest pas. De petites dimensions, il prend une forme sphérique, marquée par deux plis aux commencements des cuisses. Et surtout, les poils ne lont pas épargné
avec une raie particulièrement fournie dune douce toison.
Les dernières notes de musique se jouent pendant que je me relève de ma position outrageuse. Ma tête recouvre ses esprits, se rappelant de la présence de Driss à ses côtés. Instantanément, les émotions me font défaut, en recouvrant ma peau dune teinte rouge cramoisie à cause de la honte qui me submerge. Et là, jentends ces mots :
Putain, comment tu gères ! Je navais jamais vu une pute se donner autant. Je dois me retenir pour ne pas devenir un loup, se jetant sur sa proie. Tu as un corps et un cul de bonhomme, mais tu ma fais chavirer. Dingue, ce contraste entre la virilité apparente de ton corps et la féminité de ta silhouette. Tu sais te servir de ton cul, mais mon instinct danimal en rut me fait sentir quelque chose. Viens de plus prés que jobserve la réactivité de ton trou.
Sil vous faudra attendre la suite, rien ne nous empêche de continuer sur le même registre en mécrivant. En décidant de ne pas dévoiler la musique de mon strip, je souhaitais vous donner un petit devoir : de menvoyer le nom du morceau qui vous fait le plus tripper. Après tout, je me donne à vous et jaimerais bien en découvrir plus sur chacun dentre vous. Alors que ceux qui sont partant pour plus dinteractivité nhésitent pas, surtout que comme on dit « qui maime, me suive ». En échange, je pourrais vous révéler la playlist de ce strip, qui risque den étonner plus dun.
A bientôt les gars !
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